Oniseï Shinkaï

• Identité
  

• Nom & Prénom : Oniseï Shinkaï
  
• Code de série : Robot trafiqué, ancien code : SS709
  
• Sexe : Masculin
  
• Age : 19ans
  
• Type de machine : Trafiqué : Assassin d’humain
  

• Apparence
  

En général, seuls les plus avisés sauraient qu’il faut se méfier de ce qui semble le moins dangereux. Pourtant, les autres ne verraient en l’apparence d’Oniseï qu’un maigrichon facile à dégommer. Si seulement c’était aussi simple.

• Allure générale (Taille & poids) : Grand et svelte, atteignant les 1m 79 pour une masse de 70 Kg en raison des matériaux légers qui le composent et qui lui donne une très bonne agilité. Son apparence est le reflet de la dure vie qu’il a passé, une vie de misère ou la mort est omniprésente. Un frêle corps pâle marqué par la dure vie d’hors la loi, ses cicatrices les plus marquantes se trouvent au niveau du poumon gauche et au flan droit, deux blessures qui on était faite par ses anciens maître qui on essayer de le détruire sans l’éteindre.
  

• Visage : Derrière des yeux verrons noir ténèbres et rouge sang- avoir perdu son iris de couleur- se trouve un regard dénué d’expression et apathique, bas et cerné. En plus de ce regard pétrifié en apparence, se retrouve un nez fin et court surplombant une bouche tout aussi mince, aux lèvres hermétiquement closes, sauf lorsqu’il se voit dans l’absolue nécessité de prononcer les phrases courtes et tranchantes qui forment son vocabulaire.
  
• Regard : Un regard vide de toute humanité et remplit de haine contre celle-ci. Pourtant malgré ce regard il garde une certaine expressivité humaine.
  
• Cheveux : Des cheveux mi-longs, d’une teinte aussi sombre que son âme, tombent de façon sauvage et à peine maîtrisée sur le visage du robot, créant un contraste d’une façon frappante avec le reste de son corps, qui affiche quant à lui une teinte presque aussi pâle que les vêtements dont il s’affuble.
  
• Bijou ou tatouage : Deux longues traces rouges lui tombe sous les yeux tels des larmes lui donnant toujours un regard mélancolique et triste.
  
• Maquillage : /
  
• Style vestimentaire : habits immaculé dont juste les bordures son finement bordé de noir ; avec cela il porte un pantalon ample qui facilite les déplacements retenu par une ceinture noire. Il porte parfois un écharpe ou un collier de chien ébène pour cacher ainsi son code de serie qu'il préalablement rayé pour le rendre illisible, il veut se faire passer pour un humain donc vaut mieux cacher ses artefacts robotiques.
  Il porte un katana à la ceinture, noir dans un fourreau rouge et deux pistolets de
  vingt centimètre pour un calibre de 2mm ; petits et léger, lorsqu'il les utilise il les tient la tête en bas.
  
• Voix : Une voix étrange par rapport au personnage, enrayé et tremblante qui fait presque vibrer et reflête son charisme. A la fois douce est mélancolique, elle peut se montrer ferme et sèche au bon moment.
  

• Signe particulier : Une longue fissure sur son flan droit et sa poitrine gauche.
  

• Caractère
  

• Caractère (5 lignes minimum) :
  

Que voit-on dans deux yeux vide de sentiments dans la seul chose émanant de ses pupilles est une flamme sombre remplit de haine ? Le désespoir et la mort. Oniseï n’est qu’une coquille qui renferme une âme, ou plutôt devrait-on dire, un IA sombre et éclairée par le monde qui l’entour, qui a analysé et compris ce que vos l’homme ou plutôt, l’animal humain.
Oniseï est un être dépourvu de sentiment en apparence, donc ses gestes et ses actions sont calculé avec soin et jamais fait au hasard. Son caractère est froid et distant, et il émane de lui une aura oppressante et parfois donne une sensation de malaise, lorsqu’on le voit on sait tout de suite que l’on n’a pas affaire à un humain normal et encore, est-ce véritablement un humain ? Non, c’est une machine. La vie lui a appris à ne faire jamais confiance à personnes, de ce fait Oniseï haïs les humains tout ce qu’ils sont et n’a aucune pitié envers eux. On ne sait pas à quoi il pense, gardant une expression apathique sur le visage tel un mort fixant le ciel depuis son cercueil. Mais malgré son visage impassible, un sentiment de peur se contracte dans les entrailles de ses ennemis qui savent que combattre contre lui sera long et fastidieux, car Oniseï n’attaque jamais directement et peut créer un plan d’attaque en quelque minute révélant ainsi ses talents de stratèges. En gros pour le décrire on pourrait utiliser ces quelques mots : Austère,
indifférent, froid, taciturne, arrogant, insolent.
Mais il faut savoir qu’Oniseï peut s’attacher à quelque chose, il lui arrive à sourire à un enfant humain dont le cœur est encore pur de la folie humaine, ils sont les seul à contempler son sourire d’ange et un caractère doux, et intentionné en total opposition à celui qu’il a habituellement. Avec eux Oniseï sourit et parfois rigole ou s’amuse avec eux ; quelque chose de rare qui transforme le personnage, transformant ainsi un démon en ange pendant quelque minute. Mais il faut savoir aussi qu’Oniseï est très aimable et courtois avec les autres individus qui juge bon de ne pas haïr.

• Aime (3 lignes minimum) :
  

Oniseï aime jouir de sa liberté, de ses actes délibérés et assassin. Se promenant dans les ruelles faire tourner en bourriques les autorités avant de les semer dans une ruelle et voir, avec un peu de chance, les tuer si c’est un humain. Oniseï connaît les rues d’Immortal comme ça poche, il vivant jour et nuit dans la criminalité.

Mais son ancienne fonction est toujours restée au fond de lui, celle d’amuser les enfants et dès qu’il en voit un, l’image de la petite fille lui refait surface dans son disque dure. A ce moment là il revêtit un rôle affectieux et joue avec ces enfant humain encore pur dans l’âme.

• N'aime pas (3 lignes minimum) :
  

Il déteste les hommes, c’et êtres égoïste qui renvoient toute les maux du mondes sur les IA, qui n’hésitent pas à user de leur supériorité pour les utiliser pour faire leur besogne alors que les robots ne peuvent rien faire à cause des règles fondamentale de la robotique. Oniseï aimerai libérer les robot des ces viles créatures et créer ainsi un nouveau monde où les machines vivrait comme les hommes, au dessus des hommes.

• Biographie
  

• Origines : Trop long, voir plus bas x3
  

J'ai voulu rajouter des trucs et ça passé plus, donc je reposte l'histoire ici ^^

• Origines :
  

(les musiques, c'est à écouter avec les paragraphes qui suis pour mettre dans l'ambiance ;))

[Musique]
Dans un monde gouverné par une monarchie corrompu, les monarques tirent toutes les ficelles dans l’ombre du pouvoir royal. Les nobles ignorant presque tout du monde extérieur et bullant dans leur cocon de verre ne réagissent même pas, ne se révoltent pas et se laissent manipuler par un gouvernement pourri jusqu’à la moelle qui laisse crever les plus démunie dans le propre intérêt ou les exterminant pour leur plus grand plaisir.

30 septembre 2319, une nuit sans lune dans les sinistre ghettos d’Immortal, du sang, du sang partout et un homme aux yeux verrons dont l’un non humain brille d’une lueur écarlate dans l’immensité de la nuit, brille comme se dents se dessinant dans son large rictus de psychopathe.

Oniseï a été créé en 2315 sous le matricule SS709 en tant que un stratège militaire. Il avait la fonctionnalité d’analyser toutes situation et de trouver le plan le plus adéquate en quelques minutes, ce qui était pratique lors de rébellion qui prenait le gouvernement au dépourvu. C’était un IA ressemblant tellement à un humain par son apparence, ses faits et ses gestes que très souvent les nouveaux soldats avaient tendance à le considérer à l’égal d’eux-mêmes, enfin jusqu’à ce qu’un ancien leur dise que Oniseï n’était qu’un robot à la pensé fructueuse.
C’était aussi une machine de combat, spécialisé dans la rapidité et l’esquive donc légère, ainsi que l’assassinat ; de ce fait les deux premières lois fondamentales de la robotique n’avaient aucun effet sur lui et la troisième qu’à moitié, il ne pouvait en aucun cas s’autodétruire, cependant il était programmé pour exécuter la mission que ses supérieur lui donné et ne pouvait en aucun cas la détourner.
Dans la bataille ses armes favorite étaient deux pistolet de vingt centimètre pour un calibre de 2mm ; petits et léger ils permettent de tirer vite et sans aucune bavure, ensuite vient l’arme qu’il utilisait le plus était un katana aiguisé comme un lame de rasoir.
La machine était performante, intelligente et vive, cependant elle avait un seul défaut, un manque total de sentiment humain, on aurait dis un porte de prison avec son visage inexpressif et ses yeux vides comme ceux d’un mort, il avait quelque expression, mais minime et ne s’exprimant que lorsqu’il avait un énorme sentiment, lorsqu’il souriait c’était qu’il était vraiment contant ou satisfait, en gros une véritable machine à tuer.

[Musique]
23 février 2318, Une mission de grand rail fut confié à Oniseï ; en compagnie de l’équipe n°46 il devait exterminer un clan d’exiler à lauré du dôme car ils étaient potentiellement dangereux pour Immortal. Oniseï établit un plan d’attaque comme lui était donnée sa fonction et la bataille commença. Ce fut forcément une boucherie, les exilé étant notamment résistant malgré leur petit effectif mais tout se passait bien pour la troupe ; enfin jusqu’à ce qu’Oni se reçut un coup dans le poitrail, il eut un moment de blanc, un peu comme un ordinateur qui avait du mal à se réveillé après une mise en veille prolongé, mais cela ne dura que dix secondes. Il reprit ses esprits mais sentait que quelque chose été différent, que quelque chose c’était brisé au fond de lui-même. Il continua à combattre, d’une façon différant, avec retrait, car à chaque fois qu’il tué un exilé qui le regardait avec pitié, une sensation désagréable se matérialisé dans son cœur de métal.

L’IA rentra, la mission réussit, mais regardant le monde bizarrement, quelqu’un le salua, il sourit étonnant ainsi quelque soldat qu’il croisait car ils ne l’avaient jamais vu sourire, c’est à ce moment là qu’il comprit, le boitié qu’il servait à minimiser ses sentiments pour améliorer son efficacité venait de se rompre, et par la même occasion le programme qui l’obligé à obéir au ordre. .A partir de là tout changea.
Oniseï ne se mit plus qu’à analyser les batailles mais aussi tout ce que régissait le monde des hommes, le bien, le mal, tout. Petit à petit il se rendit compte que les hommes n’étaient pas si parfait, qu’il était sombre et vil et dans un crescendo brutal il finit par les haïr. Dans sa philosophie grandissante finit par penser que l’espèce humaine était que de la vermine qu’il fallait éradiquer. Au départ, il commença à tuer les hommes dans la plus grande discrétion jusqu’à cette fameuse nuit.

[Musique]
Oniseï s’était fait confier une mission dans les ghettos d’Immortal mais là il n’en était pas le stratège. Il ignorait totalement la mission, suivant les ordres des ces être immondes. Et lorsqu’enfin il comprit le sens de leur escapade, son sang – si j’ose dire – ne fit qu’un tour ; les soldats commencèrent à éliminer la population démunie des ghettos. Son jugement était faux, ce n’était pas les hommes le mal dans l’histoire, mais le gouvernement, comme ces êtres faibles et implorant la vie pourrait être un mal pour la planète ?
Oniseï ne bougea pas, tremblant et ne sachant que faire, puis soudain dans un excès de sentiments qu’il ne savait maitriser il perdit totalement la tête, tuant non pas la population mais les soldats, les vingt soldat que composé la brigade n°46, dans la plus grande boucherie que connut Immortal.

30 septembre 2319, une nuit sans lune dans les sinistre ghettos d’Immortal, du sang, du sang partout et un homme aux yeux verrons dont l’un non humain brille d’une lueur écarlate dans l’immensité de la nuit, brille comme se dents se dessinant dans son large rictus de psychopathe.
Le robot essuya son katana contre l’uniforme ensanglanté d’un soldat, avant de le ranger dans son fourreau, puis passa devant un mur dans une crise de rire, le faible lampadaire éclairant un mur tapissé dans sans et de chair humaine…

Bienvenue dans mon monde, dans le monde d’un fou vivant dans l’obscurité d’Immortal, et qui vous épie, vous, hommes de pouvoir, dans l’espoir de pouvoir glisser mon long katanas ente vos côtes rougeoyante… héhé !